Histoires tombées du ciel, le 20/10 à Strasbourg

Histoires tombées du ciel

Un florilège de contes juifs, chrétiens et musulmans, puisés aux sources des traditions populaires

Jean-Jacques Fdida : texte, récit et mise en scène

Jean-Jacques Fdida a grandi à Paris dans le quartier de Belleville, au carrefour de différentes langues, couleurs, et traditions du monde. Depuis, son goût des différences et des mélanges n’a jamais cessé de nourrir son travail de création. Conteur, musicien, auteur et metteur en scène depuis une vingtaine d’années, son écriture se partage entre œuvres dramatiques et recueils de contes. Jean-Jacques Fdida a été Auteur lauréat 2021 du Fonds SACD Théâtre pour Fille du diable (10 lauréats) et aidé plusieurs fois par le Centre National du Livre, notamment pour son dernier recueil Le Grand Livre des contes. Il vient par ailleurs de terminer le livret d’un nouvel opéra de Jean-Marie Machado La falaise des lendemains, opéra en trois langues (français, anglais et breton). En tant que conteur et spécialiste de la littérature orale, Jean-Jacques Fdida donne des conférences sur le conte, anime des ateliers ou des formations pour les enseignants, les bibliothécaires, les animateurs de centres socioculturels et les conteurs.

Dans ses Histoires tombées du ciel, Jean-Jacques Fdida nous plonge avec délice dans ses racines méditerranéennes. Ses histoires de sages juifs, chrétiens et musulmans vont puiser aux sources des traditions populaires. Bien qu’entremêlées, chacune d’elle parle dans sa tonalité et délivre toute sa saveur. Ainsi les différents prêtres, rabbins, derviches, saints, illuminés ou communs des mortels, cherchent leur voie avec un fin  sourire, mille interrogations et surtout en bonne intelligence.

Khadija El Afrit : chant et qanûn

Fille d’un maître de musique arabe, Khadija El Afrit a grandi dans les couloirs du conservatoire national de Sousse en Tunisie. Dès son plus jeune âge, elle côtoie de grands cheikhs de tradition orale et hérite de leur attrait pour l’authenticité et le renouveau dans des mélanges culturels. Musicienne virtuose au qanun et chanteuse depuis une vingtaine d’années (elle a obtenu une thèse de musicologie à l’université Paris-Sorbonne), elle joue au sein de plusieurs orchestres aussi bien orientaux qu’occidentaux. Son écriture se partage entre œuvres classiques et contemporaines. Khadija El Afrit est invitée sur de nombreuses scènes renommés comme les festival de Fès et Carthage.

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